C'est dans la continuité de mon dernier ouvrage, que j'évoque aujourd'hui la privation de la vie, dans d'autres termes la vie aux travers des autres, ceux qui ne vivent pas notre vie.
La question n'est pas de savoir pourquoi on vit.
Mais pourquoi ne devrions-nous pas nous en priver ?
Qui dit anniversaire dit gâteau.
Qui dit tableau dit peinture.
Le sens des choses est tel que nous ne pouvons pas aller contre lui-même.
Votre calomnie nous blesse.
Votre amour nous fait mal.
Votre vie, mes lecteurs,
Votre vie, c'est la nôtre.
Aven Berger
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